Notes de l'archiviste.
"Les croisés se rassemblèrent à baie du butin, en grand nombre. Il fut rapeller à sa capitainerie ses devoirs envers l'Eglise. La villa de Monridel, le gouverneur du port, paru assiégée tant les uniformes noirs avaient investis ses moindres coins.
Devant tant de diplomatie, le gouverneur mit comme prévu par les traités une flotte à disposition de la Sainte Armée. Les troupes purent embarqués, et c'est après un voyage presque calme que cabestan fut en vue.
Le port de Kalimdor acceuilli avec joie les croisés. D'autant plus que l'Inquisition y était arrivée en éclaireur depuis trois jours, et que Fratus Sinister y officiait personnellement. De l'or fut versé à son gouvernuer pour les réparations des vaisseaux. Une centaine d'otages emmenés, garants que les tribues locales ne s'attaqueraient pas à la flotille.
Après Deux jours passés à se restaurer et à réunir vivres et créatures inconnues pour les archives, l'armée se mit en marche pour la ville "la croisée", base des invasions récentes sur la comté d'or, et soutient officiel aux tribues de strongleronce, mettant les défenses frontalières à rude épreuve depuis quelques mois.
Cessez le ravitaillement de grom doll, le fort barbare de strongleronce et faire un exemple au monde. On ne peut s'attaquer impunément à la Croix. Des ambassadeurs furent également du voyage, pour signer des traités de commerce avec les riches caravanes de la route de l'or.
Les Saintes colonnes mirent deux jours pour traverses la savane et trouver la ville. Le siège installé, les croisés entourèrent sa Sainteté et prièrent. Ce receuillement, où chacun placait son destin dans les mains du Très Haut, se termina lorsque le soleil fut à son zénith.
Les nains, fidèles alliés, accourus de leur krak plus au sud, venait d'achever d'abattre la porte sud de la ville.
Les troupes rassemblées se lancèrent à l'assaut. La garnison barbare fuya en nombre, car le Très Haut était avec les crosés, ce fut une certitude, tant l'assaut fut violent et meurtrier pour l'ennemi.
Les flammes s'emparèrent de la ville à la tombée de la nuit, une Croix grande de trois hommes fut levée sur le plus haut sommet, au nord. La Sainte Armée, après moult pillages, assurée de la ruine de la Croisée, prirent à l'est.
Elle rallia un village ork, "tranchcolline", et y prit ses quartiers pour la nuit et panser les blessés, offrir une sépulture aux morts, fêter leur victoire. Les cadavres de quelques orks qui n'avaient pas fuis son arrivée étaient livrés aux corbeaux.
Alors arriva la nouvelle. Les sentinelles de l'inquisition avaient localisée Ogrimmar, capitale des barbares. Les archivistes la savait dans la région, mais pas si proche des côtes. Si aucun renforts n'étaient arrivés, c'est que l'alerte ne fut pas donnée. La capitale encore endormie. L'occasion était trop belle, voir enfin Ogrimmar, et rapporter ses défenses, sa taille, sa descritption.
Au petit matin, les croisés traversèrent le canyon pour marcher au nord. Aucune patrouille barbare. Ogrimmar devait être bien sûr d'elle pour ne pas se méfier. Dans la matinée, les hommes de la Croix découvrirent les murailles gigantesques de la ville. Les bruits et odeurs de ses bourgs emplissaient la plaine. Elle était là, devant eux, énorme, imprenable.
Les serviteurs des archives, emmenés par Mouzdiouf, firent une rapide observation de la capitale hordesque.
Mais personne ne venait barrer la route des fidèles. Il fallait tester leurs défenses. Connaitre l'ennemi. Ordre fut donné de prendre l'avant poste, une puissante tour. L'alerte fut alors enfin donnée en Ogrimmar. Si les barbares de la tour de guet furent annhilés, les croisés durent rassembler tout leur courage et foi pour ne pas céder: les tambours de guerre résonnaient. Couvrant les râles des mourants, son son était assourdissant. Le lion était réveillé. Le repli ordonné, mais trop tard, les portes géantes s'ouvrirent et une marée de guerriers se déversa dans la plaine. Tel un nuage d'oiseaux, ils fondirent sur la Sainte Armée.
Un mur de boucliers leur fut opposé. Sa Sainteté était là, et personne ne songeait à se dérober. Le sacrifice ultime. Les croisés devaient se replier en ordre et protéger le vénéré Patriarche. Mais le Très Haut veilleit sur eux. Le canyon au sud, à deux pas, leur permit de faire face et l'avantage du nombre pour les barbares s'effondra. L'entrée fut fermée par une barricade de cadavres, de lances et pavois. L'inquisistion y laissa ses fanatiques pour retarder la horde. Leur sacrifice permit aux croisés d'échapper au massacre, de rallier le port de cabestan. Le sacrifice de ces braves parmi les braves est maintenant inscris dans le marbre de la cathédrale en Hurlevent.
Tous les villages rencontrés lors du retrait furent rasés, pour ralentir la poursuite des barbares. Les croisés ne laissèrent que cendres et désolation à leurs ennemis.
Les otages rendus contre la flotille, Ils mirent cap au large, tandis que les multitudes barbares se déversèrent dans le port.
En haute mer, en sécurité, les plus faibles urent un remord pour le petit port, dont l'incendie était visible au loin. Nul doutes que les maitres d'Ogrimmar firent payés chers aux gobelins leur silence..."
Les esquisses de nos artisans.
Le marche des croisés, à la sortie de cabestan, le vaisseau amiral encore à quais.
La bénédiction du Pape pendant le siège.
Les croisés implorent le Très Haut pour emporter la ville, en arrière plan. [j'adore ce screen]
Rassemblement des troupes d'assaut, derniers ordres.
Galvanisées par ses chefs, les forces montent à l'assaut de la porte sud.
Après la mort du dernier défenseur, rassemblement des survivants au centre de la ville.
Conseil dans le hall principal, rapport des éclaireurs sur Ogrimmar.
La traversée du canyon, après la prise de tranchcolline.
Les croisés découvrent Ogrimmar l'infidèle.
Pour remercier le Seigneur de sa bienveillance, le Saint Père prie dans un couloir d'un village tombé pendant la retraite.
Dim 20 Avr - 22:26
!Je serait là pour le prochain!]