Eldoran, Assassin dans l'âme...

[Sérieux tes textes sont trop long et en trop grand nombre pour que j'ai le courage de les lires T_T, mais si il sont tous de même qualité que les deux premiers car le fait ]

[il faut faire psychanaliser elinda!=> cannibale
sinon j'avoue avoir lu en diagonal les trois derniers textes, notamment le passage du procès qui ne fait grincer des dents. a +]

[En même temps elle parle de son UD Eldoran donc le cannibalisme est plutôt fréquent dans cette race ^^]

[…]
Par protocole, les Croisés firent mine de chercher Eldoran, sans vraiment compter sur sa capture.
Le corps d’Alexterius fut emmené et quelques minutes plus tard un autre greffier était en place.

Tous les soldats présents étaient sur le qui-vive lorsque Erelian reprit la parole.
-« Bon, Elinda, vous n’êtes plus inquiétée pour l’heure, mais nous allons vérifier la sécurité de la ville. Un mort-vivant ne devrait pas pouvoir intervenir dans nos affaires aussi facilement ! En tout cas, je prie pour que vous ne deveniez jamais aussi perverse que lui. Nous vous faisons encore confiance, mais n’en abusez pas. »

Il sortit de la salle, suivit d’Elerion et de Lillith, puis de sa sainteté Haggendorf, entourés d’une dizaine de soldats.

Et moi, je restais là, abasourdie…
En moins de dix minutes, je fus radiée de l’armée, la cause de l’assassinat d’un greffier, la petite-fille du meurtrier, et ensuite réintégrée à la Croisade…

Quel début de journée étrange...
Je sortis de la salle de marbre blanc, et regardai les premiers rayons de soleil pourpres éclairer les maisonnettes désertes d’Hurlevent.
Je commençais à avancer pour rentrer chez moi lorsque je vis deux silhouettes arriver à contre-jour.
Je parvenais à discerner leurs contours, mais je ne voyais pas leurs visages…
Cependant, je me sentis mal à l’aise…
-« Bonjour, Elinda ! »

Je ne connaissais pas cette voix, et, par réflexe ou par intuition, je reculai d’un pas.
-« Dis Bonjour à monsieur, mal élevée ! »

Cette voix ci par contre, je la reconnus aussitôt, je l’avais entendue pas plus tard que dix minutes plus tôt, j’en déduis par conséquent la seconde personne.

-« Que font deux imminents de la Horde de si bon matin, dans un quartier perdu d’une ville en perdition, et contrôlée par des stupides humains ? » dis-je ironiquement à l’adresse d’Eldoran et de Skardar.
-« Nous devions vous parler, chère Elinda » me dit l’Elfe.
-« Alors d’abord, vous allez me dire comment vous êtes rentrés, que je prévienne mes supérieurs des faiblesses de nos défenses. »

Mon Grand-père répondit à la question :
-« Pratique votre tram… on a besoin de tuer trois nains pour entrer, et on arrive directe au cœur de votre cité bientôt en ruines… »
Mais Skardar interrompit le macabé :
-« Elinda, vous devez vous réfugier dans la capitale naine, Hurlevent sera rasée cette nuit. »

Je ris…
Je ne savais pourquoi, mais je riais…
-«Et pourquoi je devrais me réfugier à Ironforge, moi ? »
-« Parce qu’Eldoran ne compte pas que vous vous fassiez tuer sans avoir pu voir grandir votre petite Eleana, voilà pourquoi. »
Je regardai Eldoran.
Lui n’écoutait pas la conversation, et observait avec attention un rat qui venait de sortir d’une des maisonnettes.
Il sortit un coutelas et le lança sur la bestiole.
Il fit mouche, et sourit.
-« ELDO ! »
-« Hein ? Quoi ? Qui ? »
-« Ta descendance comprends pas pourquoi tu veux qu’elle vive… »
-« T’es née comme ça où on t’as marché dessus ma pauvre? J’ai déjà dit mille fois que je veux que se soit moi qui t’achèves, mais à un moment où tu sauras te défendre efficacement ! »
-« Tu ne me crois pas capable de te tuer à armes égales, là, maintenant ? »
-« Tu veux la vérité ? Ou ce que tu veux entendre ? »
-« Que crois tu que je veuille entendre ? »
-« Je crois que ce que tu veux entendre c’est que tu ne fais pas le poids, car tu crois que je me tromperais, or c’est en effet ce que je pense, et je suis sûr de ce que j’avance… »

Skardar et moi regardâmes le mort vivant avec incompréhension.
L’elfe tenta d’élucider ces paroles :
-« Donc, la vérité et ce qu’Elinda souhaite entendre, c’est la même chose ? »
-« Ouèp, mais elle crois que je me trompe… Quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça ? C’est facile à comprendre non ? »
-« On va dire oui pour te faire plaisir Eldo… Bon, Elinda, tu fuiras oui ou non ? »
-« Non ! Je me suis entraînée dur pour me battre, alors quand mon peuple est en danger, je le défendrais… Je pars d’ailleurs prévenir mes Frères de votre intrusion et de votre mise en garde ! »

Skardar m’attrapa par le bras, me regarda droit dans les yeux, et dit d’une voix qui me fit froid dans le dos :
-« Tu viens de te condamner. Es-tu consciente qu’hier, seul un tiers de notre armée s’est battue, et a terrassé l’ensemble de la votre… Ce soir, nous comptons raser la ville, pierre après pierres, tuer l’ensemble de la population présente, tête après têtes… Nul ne sera épargné, enfants, femmes, vieux, jeunes, chiens, chats, vaches, chevaux… Es-tu prête à courir ce risque ? Je n’empêcherais pas mes soldats de se repaître de vos chairs, de s’abreuver de votre sang… Ce soir, le Chaos s’abat sur la ville, et elle n’en deviendra que cendres, poussières… Plus rien ne tiendra debout. Toute vie disparaîtra alors de la Foret d’Elwynn… »

Je me sentais de plus en plus mal en point au fur et à mesure que j’entendais ses paroles amères. Je répondis tout de même :
-« De toute façon, après une si grande victoire, vous ne vous arrêterez pas à annihiler le monde des Hommes, il vous faudra aussi celui des Nains, des Gnomes, des Bons Elfes, des Dreaneï… De tous ceux qui vous ont un jour tenus tête… Alors Ironforge ne sera un abri que très provisoire, comme tout autre terre… Je resterais défendre Hurlevent ! »

Eldoran soupira.
-« Désolé petite fille, alors ce soir, tu meurs, pas d’échappatoire cette fois. Viens Skardar, on s’en va, faut aller régler quelques ptits trucs… Genre les faire-part de décès de quelques milliers de personnes… »

Les deux sombres messagers me tournèrent le dos, et se redirigèrent vers leur porte de sortie.
Je saisis mon courage à deux mains :
-« Et ! Vous croyez que je vais vous laisser partir sans rien faire peut-être ?! »
-« Désolé encore Elinda, mais que comptes-tu faire face à nous ? »

Aux mots de son chef, Eldoran s’avança vers moi, me mit un puissant coup dans le torse, qui me coupa la respiration.
-« T’es vraiment pas prête, ma pauvre… Pense un peu à ton malheureux Elëdor que j’ai décapité sous tes yeux… Tu as promis de le venger… »

Il fit volte-face, rejoint Skardar, et ils pénétrèrent dans le tunnel sombre.

Quand je parvins enfin à me tenir debout, je courus vers la Cathédrale, où je soupçonnais d’être mes supérieurs hiérarchiques.
Arrivée là-bas, je les trouvai dans la grande salle, en plein débat sur les défenses à tenir.
Lorsqu’ils me virent, ils arrêtèrent de parler.
Ils me regardèrent avec attention, jusqu’à ce que je commence à expliquer ma présence.
-« Skardar et Eldoran se servent du Tram des Profondeurs pour s’infiltrer dans la cité ! »

Ils écarquillèrent les yeux, et Lillith me demanda de développer.
-« Ils viennent de me parler, devant la salle d’Audience ! Ils souhaitaient que je fuie vers la capitale naine pour sauver ma vie, ils comptent raser Hurlevent ce soir ! »

Erelian ouvrit la bouche :
-« Ce soir ? Hurlevent ? Rasée ? »

Elerion me questionna aussi :
-« Pourquoi voulaient-ils que vous fuyiez en territoire nain ? Comment avez-vous su qu’ils étaient entrés par le sombre tunnel rejoignant les capitales ? Et pourquoi les avez-vous laisser ressortir ?! »
-« Eldoran souhaite m’exécuter lui-même, lorsque j’aurais une chance de le vaincre, c’est pour cela qu’il me veut vivante… Pour le Tram, je leur ai demandé comment ils avaient réussi à pénétrer dans l’enceinte de la ville, et mon grand-père m’a répondu qu’ils n’avaient eu qu’à tuer quelques nains pour se retrouver dans le cœur d’Hurlevent ! »

Elerion reprit :
-« Et pourquoi ne les avez-vous pas empêchés de s’enfuir ? »
-« Je vous promets que j’ai essayé ! Mais Eldoran m’a mis hors combat d’un coup bien placé ! »

Erelian arrêta cette discussion :
-« Bon, nos préoccupations sont ailleurs, ils nous faut nous préparer ! Ce soir se joue le futur de notre peuple. Il va nous falloir réussir à nous défendre, mais jamais nous ne gagnerons une bataille rangée. Il va falloir user d’intelligence pour vaincre… Quelqu’un a une idée ? »

Un long silence s’ensuivit…
Silence qui fut brisé par le Grand Inquisiteur, qui soumit une analyse :
-« Et si… enfin, notre point fort de la bataille d’hier fut bien notre défense à très courte distance de la cité ? Nos Archers postés sur les murailles perçaient de nombreux démons, alors, interrompez moi si vous trouvez cela stupide, mais, si nos fantassins se postaient derrière les Remparts ? L’Archerie causerait de nombreuses pertes avant que la porte ne soit détruite, et même si l’ennemi parvient à passer, nous pourrons nous battre à armes égales sur le pont, au dessus des douves ! »
-« Pas bête, » admit Lillith. « Mais, même à « armes égales », si un de nos soldats parvient à terrasser dix Maudits, nous croulerons toujours sous le nombre… »
-« De plus qu’Elinda nous a rapporté que l’ennemi comptait raser la ville, » intervint Erelian, « il peut donc très facilement utiliser ses armes de siège sans remords… et là, nous ne tiendrons vraiment pas longtemps… »

Je ne tins plus, il fallait que je leur dise la même chose qu’aux deux généraux de la Horde :
-« Mais, l’ennemi ne s’arrêtera pas à détruire le monde des Hommes ! Il s’en prendra à nos alliés par la suite, alors pourquoi ne pas leur demander de l’aide dès aujourd’hui ? Si vous envoyez des messagers dans l’heure, leurs armées peuvent être présentes avant le Crépuscule ! »

Erelian et Lillith s’échangèrent un regard, et hochèrent la tête.
Le Capitaine approuva :
-« Je conseille la tactique de frère Fratus, et j’adhère au souhait d’Elinda, il faut envoyer un messager aux nains ! Les Dreaneï et les Elfes sont basés bien trop loin pour pouvoir nous aider, mais la force, la ténacité, et les armes des habitants des montagnes pourront nous être plus qu’utile face à une armée en nombre. »

Le Commandeur de la Sainte Armée, le Capitaine, et le Grand Inquisiteur saluèrent Elerion et Haggendorf, et sortirent du lieu saint.
Je les imitai, et me dirigeai vers ma maison, dans l’espoir de prendre un dernier bon bain.

[…]

[…]

Dernière fois que je sors de chez moi…
Demain matin, je ne serais certainement plus de ce monde…
Ma maison, ainsi que toute la ville, sera brûlée…
Je ressens des picotements dans le ventre…

Le soleil se couche dans une ou deux heures, le ciel commence déjà à s’assombrir…
C’est fou ce que les journées passent vite lorsqu’elles sont considérées comme les dernières…
Je n’ai toujours pas revu Eleana, elle commence vraiment à me manquer…
Elle n’a plus de grands-parents, ni de père, elle n’a plus qu’une mère qui pars pour sa dernière bataille, et un arrière grand père dont même le Diable ne voudrait pas comme ami…

Je me dirige vers le quartier des nains, l’armée de ces derniers vient d’arriver, et nous devons régler les préparatifs finaux avant la Grande Bataille…
En arrivant, je vois à quel point ces créatures n’ont pas compris la gravitée de la situation dans laquelle nous nous trouvons… Ils n’ont envoyés qu’une petite centaine de guerriers, mais deux armes lourdes.
-« Cette petite merveille, »dit un nain sortit des rangs en pointant une des armes, « peut vous exploser jusqu’à deux cents orcs à la minute ! »
-« Mouais, encore faut savoir tirer dans un tas de deux cents orcs agglutinés comme des abrutis… » Répond Fratus, visiblement vexé par le peu d’intérêt qu’ont portés les nains à leur appel au secours.
Lillith tente de rattraper le manque de diplomatie du Grand Inquisiteur :
-« Où allez vous placer vos guerriers et votre artillerie ? »
-« Nous pensions les mettre en haut des falaises, au dessus de vos remparts, pour surplomber le champ de bataille, et être hors de porté des flèches ennemis. »
-« Bonne idée, vous arriverez à les poser là haut ? »
-« Dans une heure c’est fait ! »
-« Bien, et surtout, commencez à tirer dès que la Horde est à portée de tirs, chaque seconde gagnée nous sera bénéfique. »
-« À vos ordres, charmante humaine ! »

Le nain et son équipe se divisent maintenant en deux et amènent les balistes vers les deux côtés des murailles protectrices.
Erelian commence à parler :
-« Bon, ça c’est réglé, maintenant, va falloir attendre l’ennemi et gérer la peur de nos hommes… Elle se fait sentir de plus en plus forte depuis la lourde défaite d’hier… »
-« Bah, encore un de tes beaux discours, et ça ira mieux, tu verras… » Rassure Fratus.

-« Ahh, Elinda, je voulais vous parler ! » Annonce le Commandeur en s’apercevant de ma présence.
-« Euh, que puis-je ? »
-« N’y voyez pas une envie suicidaire, mais plutôt une volonté de mort honorable au service du Très-Haut… »
-« Je dois vous avouer que je m’attends au pire… »
-« Je souhaite que vous, les paladins Jaelle et Tina, le Capitaine Erelian, le porte-étendart Gerüss, et moi-même, Commandeur de la Sainte Armée, nous fassions face en première ligne, devant les hommes, ce soir. »
-« Avec plaisir ! Je ferais Honneur à la Croisade ce soir, je transmettrais la mort à nos ennemis avant que celle-ci ne vienne me prendre ! Pour le Pontife, Pour le Très-Haut, et pour Hurlevent ! »
-« Je vous remercie Elinda, vous pouvez aller vous préparer, rendez vous dans une heure sur les Remparts de la ville, nous serons aux premières loges aux débuts des festivités, puis nous descendrons pour nous battre avec les soldats. »

Je salue et prends congé.
Je m’avance vers l’armurerie en profitant de la vision de chaque plante de chaque parterre de fleurs, et en profitant des derniers rayons du soleil.
Une fois à l’armurerie, je m’équipe d’un bouclier en argent, à la boucle d’or pur. Je prends une épée ciselée au manche incrusté de pierreries, certainement du toc, mais peut importe, elle est impressionnante, et aiguisée…
J’accroche un couteau à la gaine que je me suis placé juste à l’interstice de mes bottes, et un autre à ma ceinture.
L’armurier m’aide à mettre mon armure d’un alliage résistant, mais léger, qui ne m’empêchera pas de me mouvoir, mais résistera aux coups assez longtemps.
Le casque sous le bras, le bouclier sur le dos, et les armes aux fourreaux, je me dirige vers l’écurie.
Mon cheval est déjà prêt, lui aussi en armure.
Je lui caresse l’échine, et l’attrape par la bride.

L’heure est presque écoulée, je me dirige déjà vers ma perte, mon cheval me suivant.
Je laisse mon cheval au bas des murailles, et je monte les marches pour rejoindre mes supérieurs.
Tous les Archers sont déjà en place, tous avec des réserves de flèches à leurs pieds, prêts à tuer de nombreuses créatures démoniaques.
Je scrute l’horizon, aucun ennemi en vue.
-« Le calme avant la tempête » me dit Erelian en me voyant chercher la moindre trace de vie dans la forêt.
Je regarde au dessus de nous, et je vois les nains, armés de leurs balistes, prêts eux aussi à décimer autant de soldats de la Horde que possible.
Mon regard se tourne ensuite vers le bas des remparts, du côté de la ville, où attendent des centaines d’Hommes, parés à en découdre.
Lillith nous rejoint, puis Fratus. Jaelle et Tina arrivent par la suite.
Nous attendons tous le moindre mouvement de l’ennemi…

Tout à coup, nous entendons un hennissement au loin.
Tout le monde sursauta…
Nous sommes sous tension…

Des tambours maintenant…
Les cailloux tremblent.

-« Ils arrivent… » Dit simplement Lillith.

Chaque bruit de tambour me glace le sang…
Dans quelques minutes, cela va commencer.
Notre fin approche à grand pas…
Erelian se retourne, et fait face à toute l’armée d’Hurlevent :
-« Soldats, faites leur mal… Faites leur sentir que vous leur en voulez… Faites leur voir à quel point l’Humanité est tenace… Vous êtes le dernier rempart contre cette armée pour protéger votre ville, et vos familles… Bonne chance, et, rendez vous chez le Très-Haut, vous y occuperez une place de qualité, je vous le promets ! »

Les tambours cessent leurs battements réguliers…

[…]

Je suis en première ligne!! J'adore!! ( au fait ce sera une charge à cheval, j'espère? Emouchet est très fort à cheval!! Son cheval s'appelle Faran! Si tu peux intègre le à ton rp!) Très bien, j'ai hate de lire la suite!

[…]

Nous attendons.
Je ne vois toujours pas l’ennemi, mais il est là, en face, et en nombre.
Lillith a les mains jointes, la tête penchée, les yeux fermés.
Elle prie.
Erelian n’a pas l’air de tenir en place, il jette des coups d’œil de tous côtés, il ne doit pas aimer les attentes.
Jaelle et Tina, elles, sont calme, Jaelle regarde les arbres, et Tina les chevaux.
Moi je n’en peux plus d’attendre…
Je veux que tout cela s’arrête.
Je veux voir ma fille.
Je voudrais n’avoir jamais revu Eldoran…

En vérité… J’ai peur…
Je ne me sens pas prête à affronter la mort…

Tout à coup, la Horde jugule, leur chef vient certainement de terminer son « discours ».
Le sol tremble à nouveau, mais ce tremblement n’est pas rythmé comme avec les tambours…

L’ennemi courre vers nous…

-« C’est parti. » Annonce Lillith en rouvrant les yeux.

Erelian jette un regard aux nains, puis prépare l’accueil de la Horde :
-« Archers ! »

Les hommes concernés bandent leurs arcs.
Les balistes des nains commencent leur carton dans un grand fracas de métal et de chair pulvérisée.

Les Maudits ne sont plus qu’à environ cent mètres de nos murs.
-« TIREZ ! »

Une volée s’abat sur l’attaquant, éclaircissant ses rangs.
-« Allons-y » dit le Commandeur en s’adressant au Capitaine, à Jaelle, Tina et moi.

Nous redescendons les marches, et arrivés en bas, montons sur nos chevaux.
Nous allons nous placer devant les troupes...
Nombre d’archers commencent à se prendre des projectiles.
L’un d’eux hurle soudain :
-« Un bélier ! »

Bien sûr, nous espérons que la porte de la ville tienne bon, mais je ne peux empêcher une certaine excitation me gagner tout à coup…
L’immense porte de chêne, qui parait pourtant inviolable, se met tout à coup à s’ébranler.
Chaque coup dans cette porte, chaque tremblement, chaque fracas, fait déglutir les soldats derrière nous.

-« Soldats… Souvenez vous… Une place de qualité… » Rappelle Erelian aux hommes.
Nous sortons tous nos armes.
Mon rythme cardiaque s’accélère, je sens mon sang venir frapper ma tempe avec force…
La porte ne tiendra plus longtemps…
La Horde piaille toujours derrière elle, en attendant sa destruction…
La porte tremble de plus en plus...
Une goutte de sueur coule le long de ma joue…

La porte se fracasse.
Aussitôt des escouades de morts et d’orcs s’incurvent dans la brèche.

-« Restez bien en position, sinon, aucune chance » hurle Lillith.
-« C’est à nous maintenant… » Murmure Jaelle.

Nous chargeons…
Nous ne faisons même pas cinquante mètres que l’ennemi nous entoure déjà…
Les coups pleuvent, je ne sais pas de quel côté frapper.
Mon armure encaisse les attaques que je n’esquive pas.
Je n’ai pas le temps de voir comment se débrouillent mes alliés, je dois faire face à trop de créatures.
Tout à coup, je me sens basculer.
Ils ont eu mon cheval…
-« CHIENS ! »
Je tombe à terre…
Je tente de me relever, les morts ne s’intéressants plus à moi.
Je n’y arrive pas, ma jambe est bloquée sous ma monture, agonisante d’une plaie au ventre.

-« Désolé, Uranie… » Dis-je à mon animal.
Je plonge mon épée dans son dos, puis je tranche la partie de ses côtes qui me retient.
Je me relève, et regarde autour de moi.
Erelian fait face à cinq orcs, Lillith est toujours aux prises avec un Réprouvé, Jaelle et Tina se protègent mutuellement en balayant leurs ennemis de leurs lames, et l’Armée tient bon sous le choc de la marée de la Horde.
Au moment où je me reconcentre sur ma position, un orc me saute dessus en tentant de m’ouvrir le crâne de sa hache.
Je pars le coup de justesse, et plante mon épée dans son ventre.
À l’instant où il retombe, je lui tranche les jambes.

Mon regard se tourne à nouveau vers le mur d’acier que forment les survivants d’Hurlevent, et, à ma grande surprise, ils semblent terrifiés, malgré le fait qu’aucun d’eux n’ai encore été tué, et que de nombreux orcs et réprouvés gisent déjà à terre.
Je me retourne, et voit le dernier archer posté sur la muraille se faire transpercer par un Elfe.
Une mort-vivante, certainement gradée vu son armure, passe à côté de lui et s’assoit sur la muraille, les pieds dans le vide.
Voyant que je la regarde, elle me fait signe, et l’Elfe crie :
-« Attention, Humaine, Sheram a faim… »
-« Mais tais-toi Cesorm, la perturbe pas, laisse-la se battre normalement, je veux regarder. »

D’autres officiers de la Horde arrivent sur les remparts pars une échelle clandestine.
Dans ces officiers, je reconnais Skardar et Eldoran…

Je coupe en deux un troll passant à côté de moi, puis je vais me mettre un peu à l’abri derrière le mur de lances et de boucliers.


-« Oh mon Dieu ! » s’exclame Tina, en pointant du doigt le haut de la falaise, là où étaient postés les nains.
J’ai le temps de ne voir que les nains éjectés dans le vide, dont un la tête tranchée.
Voyant aussi cette scène, Erelian hurle à nouveau :
-« Tenez cette position soldats ! Vous êtes un mur infranchissable, et vous ne céderez pas un pouce ! Vous devez tenir ! »

Je regarde à nouveau le haut de la muraille.
Je vois Skardar parler à deux archers Orcs.
Ceux-ci bandent maintenant leurs arcs…
Ils décochent…
Erelian, alors en train de dominer deux adversaires, se prend l’une des deux flèches dans le dos.
La seconde passe à un cheveu de Lillith.
Erelian titube.
-« Adieu, soldats… » Suffoque-t-il.

-« CAPITAINE !! » Crie Tina.

Jaelle et moi nous sortons des rangs et courons vers le Croisé blessé.
J’ai laissé mes armes derrière les rangs, mais la paladin me protège de son lourd bouclier.
J’attrape l’homme touché en traître, et le porte à l’abri.
Dans mes bras, mon supérieur me dit :
-« Prends soin de Faran, jeune Elinda… je t’en pris… Ce cheval, c’est toute ma vie… »
Je passe derrière le mur de soldats en lui promettant de m’occuper de son magnifique destrier, mais au moment où je le pose sur le sol de marbre, le Capitaine Erelian expire.
Je regarde Lillith, ma supérieure, je n’ai pas besoin de parler, elle me comprend, et acquiesce d’un hochement de tête.

Je prends l’épée d'Erelian, ainsi que la mienne, mon bouclier sur le dos, je repasse du côté chaotique du mur, et je me dirige vers l’escalier de la muraille.
Je ne prête même pas attention aux nombreuses créatures présentes dont l’envie est de nous exterminer, je les transperce une par une au fur et à mesure de mon avancée.
Mes yeux regardent à nouveau les officiers de la Horde lorsque derrière moi retentie la voix de mon Commander :
-« Soldats, Avancez peu à peu tout en gardant la ligne ! »
-« Renvoyez ces créatures infernales dans leurs mondes ! »Hurle à son tour Jaelle.

Voyant nos rangs avancer, l’Elfe et la mort-vivante sautent du mur et se dirigent vers nos hommes.
Je commence à grimper les marches, faisant tomber Trolls et Orcs qui tentent de me retenir.
Je suis en haut des Remparts, je fais face à Eldoran, Skardar et quelques autres soldats.
-« Bon, Eldo, je te laisse t’amuser, je vais aller me dérouiller un peu en bas… » Lance Skardar.
-« À vos ordres, patron… Dégagez vous autres ! » Répond Eldoran en me fixant avec un sourire sadique, puis en hurlant après les soldats présents sur la muraille.
-« Tu vas payer pour tous les crimes commis par cette armée de la peur ! » dis-je à mon grand-père.
-« J’en tremble, Elinda… »
Il dégaine ses armes.
Il me court dessus.
Je saute sur le côté, et lui écorche la jambe de l’épée d'Erelian.
-« ça fait un partout, tu t’en souviens j’espère ? »
-« Bien sûr, »me répond-t-il. « Petite vengeance du jour où j’ai tué ton mari ? »
-« Tu vas crever… »

À mon tour, je bondis sur lui, tentant de planter mes deux épées simultanément dans sa gorge.
Il esquive de peu, mais je le coupe à l’extrémité du cou.
Le mort riposte d’un coup de genoux dans mon torse, et me met un puissant coup d’épée dans l’épaule gauche.
La lame d’Erelian tombe au sol.
Aussitôt, Eldoran la dégage en bas de la muraille d’un coup de pied.
Je me penche en avant et fais basculer mon bouclier sur mon bras gauche.
Il lève ses armes et croix devant moi, je saute et vrille pour l’assommer d’un coup de bouclier, coup qu’il part, mais je profite de son déséquilibre pour lui planter mon arme dans ses côtes.
Il me jette un regard noir, lève ses épées, les pointent vers mon cœur, et resserre les bras.
Au même moment je plonge à ses pieds, lançant mon bouclier sur mon dos, et plaçant ma lame dans son estomac.
Je me relève, retire mon épée, tourne sur moi-même pour prendre de la vitesse, rabat mon épée vers sa gorge.
Mon arme pénètre le cou, s’enfonce, le traverse…
Eldoran tombe au sol, décapité…

Je regarde son corps inanimé…
Je ramasse sa tête…
Son visage semble à jamais figé dans une expression de plaisir sadique.
Son regard fixe le vide comme s’il le défiait, et sa bouche forme un sourire cynique.

Je reprends conscience du lieu et du moment où je me trouve, je suis sur la muraille d’Hurlevent, entourée d’ennemis qui viennent de perdre un de leurs généraux.

Du haut de la muraille, je regarde le combat....
Les douves débordent de corps, l’eau est rouge, le marbre blanc est devenu pourpre, les Croisés fatiguent, Skardar se bat avec Lillith, Cesorm est en prise avec Jaelle, et Tina tente de ne point se faire massacrer par Shirow.
L’armée de la Horde stagne, et ne parvient pas à déborder les Hommes, qui défendent toujours leur ville.
Je lance la tête sur le pont, puis saute des Remparts et amortie ma chute grâce à quelques démons, tués sur le coup. Je donne des coups à tout va pour faire se disperser les quelques créatures à portées, et commence à nettoyer la zone.
Les Croisés continuent d’avancer, et bientôt, nous aurons récupéré tout le pont.
Je vois Skardar assommer le Commandeur Lillith, puis lever son épée au dessus de son adversaire.
Il va l’achever…
-« Et, Skard’, ton Eldo, il gît là-haut, décapité… » Hurle-je au Chef de la Horde.
Il se retourne, me cherche des yeux, m’aperçois, et se dirige vers moi.
-« Tant pis, il se fatiguait, le pauvre… »
Il lève son épée et la rabat sur moi, je pars le coup, et saute en arrière.
-« Et M’sieur l’méchant ?! Attaque toi à quelqu’un de ta taille ! » Lance Tina à l’adresse de Skander en achevant Sheram.
Me voyant hors de portée immédiate, le général en chef se retourne et fonce sur la paladin fatiguée.
Celle-ci recule, prise de court, et lève son bouclier d’argent.
Il rabat son épée dessus, ce que désarçonne mon amie.
Elle lâche son bouclier, la main tremblante.
Skardar attaque horizontalement de son arme, mais un vaillant soldat saute en poussant Tina, et se prend le coup, qui lui pénètre au niveau de la poitrine jusqu’à la colonne vertébrale.
-« Pff, quel abruti, ça me fera que perdre quelques secondes… »
Disant ces tristes paroles, il se tourne à nouveau vers Tina, encore à terre.
Il lève son épée, pour l’achever, mais cette fois-ci, c’est moi, qui suis revenue dans le cœur du combat, qui part l’assaut de mon bouclier.
Je donne un bon coup de poing dans la figure du paladin, me cassant quelques phalanges, mais réussissant à le sonner.
Lillith, revenue à elle, arrive derrière lui, et lui plante son arme dans le ventre.
Skardar tombe à genoux, et ne bouge plus…
Cesorm, voyant son frère ainsi traité, s’éclipse de son combat alors plutôt bien engagé face à Jaelle, et tente de garrotter Lillith, pour venger sa victime.
tina se relève, et agrippe l’elfe au col, pour le faire tomber au sol.
Jaelle se joint à la mêlée, et plante sa lame dans la cuisse de Cesorm.
Lillith réussit à sortir des griffes de son agresseur, et reprend sa respiration.
Je me reconcentre sur le combat opposant Jaelle et Tina à l’elfe, qui va à un rythme effréné.
Jaelle tente de son mieux de protéger Tina des assauts du tueur, qui semble vouloir sa peau à tout prix.
Il arrive à assommer Jaelle, et a le quartier libre pour faire se qu’il veut de la jeune fille usée par la bataille.
Je suis en prise avec deux trolls, et je n’arrive pas à m’en débarrasser…
Je plante mon arme dans leurs membres, mais cela n’a pas l’air de beaucoup les déranger…
Je regarde à nouveau Tina, mais je la vois gisant au sol, et ne voit plus Cesorm.
Je fais tourner ma lame, et coupe un des deux trolls en deux.
J’assomme l’autre, puis lui plante mon épée dans le cœur pour l’achever, et je cours vers Tina.
Son pouls bat très faiblement, elle a une grosse plaie à la gorge.
Lillith revient, et m’aide à la porter du côté sauf du mur de soldats, qui avance toujours lentement vers la porte de la cité, pour repousser la Horde.
Je repère Cesorm qui se faufile à travers les rangs des démons en s’éloignant de la mêlée, Skardar dans les bras.
Jaelle aussi l’a vu, je la regarde dans les yeux, puis elle me désigne le haut de la muraille du regard.
Je comprends, et je cours à toute vitesse vers les escaliers, puis je monte sur les remparts.
Je ramasse un arc sur l’un de nos archers décédés, et le lance à Jaelle.
Elle l’attrape, l’arme, vise le dos de l’elfe et tire…
La flèche fend l’air, et traverse la nuque de Cesorm.
Celui-ci s’affale à terre.
La Horde a perdue tous ses dirigeants de la bataille d’aujourd’hui.

Les Croisés reprennent la porte.
Je redescends du mur, m’approche de Lillith et de Jaelle.
Lillith nous apprend que Tina est décédée, puis hurle à l’adresse de l’armée :
-« Croisés ! Tenez les rangs ! L’ennemi ne doit pas reprendre la porte ! »

Au même moment, un cor sonne derrière nous, un cor non pas ennemi, mais un cor d’elfes de Darnassus.
Nous nous retournons, et voyons des centaines d’elfes en arme montés sur de magnifiques tigres aux crocs acérés…
-« Nous sommes venus prêter main forte aux Humains de Hurlevent dans leur lutte contre les forces obscures de la Horde. » annonce simplement le dirigeant de cette armée inattendue.
Lillith, Jaelle et moi nous nous échangeons un regard, et Jaelle prend la parole :
-« Vous êtes plus que les bienvenus, Amis ! »
Lillith et Jaelle partent rechercher leur cheval, et me ramènent Faran, le cheval d’Emouchet.
-« Allons, la chasse est ouverte… » Me dit Lillith en souriant.

Les Croisés forment un passage dans leurs rangs, et toute la cavalerie charge, avec Jaelle et Lillith en tête, suivis de l’elfe et de moi, puis de l’armée elfique.
Une fois la porte passée, les ennemis agglutinés n’arrivent pas à reculer assez vite pour ne pas se faire piétiner.
Comme l’a dit le Commandeur de la Sainte Armée, une vraie chasse commence.
La Horde fuit, et les Elfes les poursuivent, les traquent.
Au bout de quelques heures de poursuites et de massacres, Lillith revient devant les Croisés et leur annonce :
-« Victoire ! »

Tout le monde hurle de joie. Profusions de cris d’allégresses et de soulagements.

Le Commandeur remercie encore l’armée de notre Salut, puis se dirige vers la Cathédrale, où moi et Jaelle nous la suivons, pour s’entretenir avec le Saint Père Haggendorf, prévenu de la victoire.
-« Bonjour mes filles. » Nous dit-il pour tout accueil. « Quelles pertes sont à déplorées ? »
Lillith répond que toute l’archerie est tombée, mais que, grâce à la tactique de Sire Fyreos, seule une perte est à déplorée dans le corps d’infanterie rapproché, ce qui est exceptionnel compte tenu du nombre d’ennemis que ce corps a affronté.
-« Mais, comment est-il mort alors ? » demande à nouveau le Pontife.
-« Cet homme, s’est sacrifié pour sauver feu sœur Tina de la lame de Skardar dit « le valeureux ». Sœur qui est tombée suite à une blessure à la gorge causée par un assassin. Le Capitaine Erelian est lui aussi tombé… »
-« Leurs Âmes ont déjà trouvé le Royaume du Très-Haut et le Salut Eternel, je le sens… Ils n’étaient faits que de bonté, de courage, d’Honneur… Il ne peut-en être autrement… Fille Lillith, prévenez les Hommes qu’ils peuvent dès à présent aller revoir leurs familles, la Horde a pris un grand coup aujourd’hui, et cela va considérablement l’affaiblir... »
-« Bien, Père. »
-« Vous pouvez disposer, mes Enfants, allez vous reposer. »

Nous saluons, puis sortons. Je salue mon commandeur et Jaelle, puis je pars en direction du tram reliant Hurlevent à Ironforge, pour aller revoir ma fille…

(Magnifiques textes Elinda seulement si Joana et Emouchet sont morts ca veux dire qu'on ne peux plus les jouer T_T...ma pauvre paloufette c'est crop injuste T_T)

( ouais c'est vrai ca Joana, si je suis mort mes soldats seront perdus sans moi!! Je suis leur idole! Oh les pauvres!)

(Et puis je plaint Jaelle moi, elle a perdu son BB [Bouclier Blanc, oui je précise car vu les évènement de ces derniers jours j'veux pas mettre de termes ambïgue] favoris, son meilleur élément, sa raison de vivre, euh j'en fait trop là non? Bon je la plaint quand même car elle me voulais absolument dans son escouade et je meurs T_T)

(là j'ai pas trop le temps, mais comme promis Ig, je vais changer les noms, c'est vrai que j'avais pas penser aux conséquences rp <<


Par contre, Si cela ne dérange pas Lillith et Jaelle que je les laisse, je ne changerais pas leurs nom

ps: l'Aube sanglante aussi veut pas mourir x] )

( fallait sans douté!! j'apprécie moyen ma mort!)

(Bon que je meurs ou pas ça change rien a mon scénario (sauf que si je meurs tu m'a pris de cours XD), mais si un jour tu veux faire mourir un de mes perso j'aimerais que tu m'en parle avant Elinda, car si on suis bien le RP plus aucun des persos mort dans ton texte ne peuvent être joué donc très très moyen pour nous, au pire les noms tu peux les garder mais tu les fait pas mourir mais tous blessé gravement, genre on peux plus se battre pendant un bout de temps (quoique ma belle gorge T_T) enfin c'est toi qui vois c'est ton oeuvre)

(Zinquiétez pas, vais changer vos noms ^^ encore désolé Emouchet, au début je comptais pas vous faire tuer, mais au fur et à mesure que j'écrivais avec du Era dans les oreilles, j'ai imaginé les scènes, et je les ai retranscrites, c'était fait au filing, donc j'ai été pris de cours x]


Allez, je commence à changer... (Skand' je le transforme en Skardar, Shirow en Sheram, Carsomyr en Cesorm, Malike en Madjac, Emouchet en Erelien, Joanna en Tina.)

(ça vous va? ^^)

( moi ca me vas très bien Elinda, je te remercie de ta compréhension!)

(Bon, j'en ai profité pour changer aussi le nom d'Aliester en Alixterius, mais pour l'instant j'ai changé que sur ce forum-ci, je vais copier collé sur le forum ivalice dans l'après midi )

(Merci Elinda, la prochaine fois demande nous avant au pire tu peux utiliser le nom de mon perso du moment que tu fais pas mourir Joana sans m'en avoir demander permission avant ^^....au pire tu peux la faire tomber dans le coma (bon pas pendant mois non plus XD) mais tu peux lui faire avoir des bobos et toutes les saloperies qu'on peux choper pendant une bataille [bon bah de truc genre elle se fait choper par 10ennemis/allié/neutre qui vont la violer après >_<(mon perso est pas une catin bien que Nylis de la confrérie défia en dise le contraire Oo)])

(O-O je rêve ou Joana me demande de faire violer sa perso dans mon Rp???)

(Non JE NE VEUX PAS que tu mettre une scène où Joana se fait violer [elle a eut sa dose d'émotion forte là XD])

(Mais tu nous sort quoi Kadjar Oo...sinon ya pas eut de RP en relation avec le texte, il viens juste de l'imagination d'Elinda)

(rien j'me susi juste imaginer une armée de mort vivant avec Eldoran en tête et toi entrain de courir xD. Ah bah c'est dommage =/)

(Même pas peur, je suis guider par la lumière donc je ne fuierais pas, je mourrais au combat)

[bravo à toi j'ais beaucoup aimé meme si ceux qui arrive à la rescousse des hommes sont des elfes ( comme dans le seigneur des anneaux). Mais bon sa ne tient pas une grande partie dans ton texte don ce n'est pas grave. Et bravo pour ton beau recit.
j'espere qu'il y en aura d'autre.]


Modo Elerion : Attention utiliser () ou [] pour Hrp et attention de ne pas flood le Rp des gens, merci